"Il suffit que la démence ait une origine raisonnable pour que l'on puisse la nommer crime. J'ai déjà indiqué à propos du procès Dominici, la qualité de la raison pénale : elle est d'ordre "psychologique", et par là même "littéraire"
Roland Barthes, "Le procès Dupriez", Mythologies.
Roland Barthes, "Le procès Dupriez", Mythologies.
Informations :
- Stage de montage à Pinewave : mardi 20 à 10 h. Tous le groupe sera accueilli. On nous fera une présentation de la radio, des programme et du logiciel de montage Adobe audition.
- Interview avec la diplomate Sarah Wandy: date encore indéterminée
- Interview avec Carton Chen: date encore indéterminée
- L'enregistrement et le montage : le matériel sonore que nous avons enregistré va nous permettre de commencer à faire un travail de montage dès que nous aurons régler le problème du logiciel Adobe Audition (payant: l'université prendra en charge en partie les frais).
1 - Montage des Haïkus radiophoniques : vous pouvez d'ors et déjà à partir des modèles que je vous ai proposé (voir cours précédent) monter vous-mêmes vos haïkus.
Les bruits d'ambiance que nous avons enregistrés vont nous être d'une grande utilité pour ce premier travail de montage. Pour l'instant l'enregistrement de l'entretien et des bruitages d'ambiance est brut. Il faut le "monter". C'est à dire le "nettoyer", supprimer les bruits de sons superflus, les paroles inaudibles, supprimer les questions si possible et ne garder que les réponses, mettre au format l'enregistrement, et faire un début de mixage en fonction de nos besoins :
2 - Portrait pour le BFT : 10 min (à peu près). Nous pouvons d'ors et déjà faire ce premier travail (qui servira d'état au second) en préparant en mixant l'interview, des sons d'ambiance et des extraits du spectacle. A - première version sans doublage B - deuxième version avec doublage en français. C - Écrire un petit texte de présentation de 3 paragraphes pour accompagner le portrait sur le site.
3 - Une émission de radio (Pinewave, RCP, Asialyst) comprenant cet entretien : 58 min. Pour justifier le documentaire deux autres entretiens seraient souhaitables.
Chen Yi-wen
Traductions et retour sur la traduction.
Question 1 : Pourriez-vous vous présenter et présenter votre parcours de comédien et de metteur en scène ?
Chen Yi-wen : J’ai fini mes études à l'Université Nationale des Beaux arts de Taipei (台北藝術大學). A l’université, on a consacré beaucoup de temps aux arts dramatiques. C'est à dire, à la performance scénique, au scénario, à la mise en scène, toutes ces compétences liées à l'activité théâtrale. Ceux qui regardent mon parcours, pour la plupart considèrent que je suis plutôt metteur en scène.
Après mes études, j’avais l'impression que le cinéma était plus percutant, donc j'ai décidé de tourner des films. C’est pourquoi, souvent, les gens pensent que je travaille exclusivement pour le cinéma. Mais à cette époque, beaucoup de mes amis, de mes camarades, toutes mes connaissances de l’école des beaux arts, faisaient du théâtre; donc, de temps en temps, il m'arrivait de jouer ou d'assister à des représentations. C’est pourquoi, le théâtre ne m'était pas inconnu.
Il y a un an ou deux ans, plusieurs personnes m'ont incité à monter sur scène. J'ai consacré beaucoup de temps à m'exercer. J'ai même participé à une série de concours aux États-Unis. Au début de cette année, un ami m’a présenté ce livre de Victor Hugo, Le Dernier jour d’un condamné.
Ce livre qui raconte la vie intérieure d'un condamné à mort m’a inspiré. C'est la raison pour laquelle je voudrais adapter ce roman en pièce de théâtre. Et cette fois-ci, je n'ai pas voulu être metteur en scène, mais plutôt comédien. Je suis donc revenu au théâtre comme autrefois lorsque j’étais étudiant et que je finissais mes études. À cette époque, je participais à des expériences théâtrales et je jouais des rôles que j’aimais. C'est pour quoi, j’ai adapté cette pièce et j'ai joué ce rôle. Le théâtre Thinker me convient bien.
Le sujet de cette pièce n'est pas banale à Taiwan, car j’ai l’impression que le théâtre taiwaïnais contemporain préfère le divertissement.
Et puis, Le Dernier jour d’un condamné me replonge dans ma vie d’étudiant, me permet de penser et de réfléchir, non de rire.
J'ai profité de l’invitation du metteur en scène Zhang Zhe-Long et de son équipe. Puis nous nous sommes mis d’accord pour commencer à travailler.
03:19-05:36
Question : "Nous sommes tous condamnés à mort" écrivez-vous. Pourquoi pensez-vous être condamné à mort ?
Chen Yi-wen : Le sens de « la mort
d'un condamné » pour moi n'est pas forcément lié à cette phrase "nous sommes
tous condamné à mort" car la situation et le point de départ sont différents.
Pourquoi un homme serait condamé à la peine de mort sinon parce que les citoyens ne savent pas vraiment, hormis la peine de mort, quelles sont les autres solutions. Est-ce que la peine de mort est vraiment la solution idéale ?
Je vous donne un exemple, il y a à peu près trente ans, Taiwan a commencé à
promouvoir une nouvelle politique éducative qui consiste à ne pas battre les
enfants, et à ne plus pratiquer de châtiments corporels. Avant cela, les enseignants avaient le droit de battre les étudiants et c'était vrai aussi
pour les parents. Il y a seulement trente ans - vous voyez - que les gens commençaient à parler de ne
pas battre leurs enfants. A cette époque, tout le monde ou presque pensait que ne
pas les battre, c'était les laisser devenir mauvais. Mais en
fait, ceux qui sont contre le châtiment corporel, ne veulent pas non plus
que leurs enfants deviennent mauvais. Et c’est pareil à propos des personnes condamnées à mort. Est-ce que c’est réellement la meilleure solution ? J’espère que les gens
peuvent tenir le même raisonnement sur la peine de mort. Ceux qui sont en faveur
de l’abolition, eux aussi, croient en une société plus ferme et stable. (traduction Elisabeth)
Question 3
Question : Dans
le roman de VH, il s’agit du monologue
du personnage principal. Nous voudrions savoir pourquoi vous choisissez
de passer aux dialogues ? Par exemple, les dialogues entre le condamné et
sa famille, son ami, sa fille, etc. Pourquoi faites-vous ce
changement ?
Chen Yi-wen : En effet , une grande
partie de ce roman se concentre sur les sentiments du personnage. L’écrivain
s’est mis à la place du condamné. C’est donc plutôt un homme solidaire qui
raconte son histoire, ses souffrances, ses sentiments. Pourtant, si l’on
veut tranformer ce roman en une pièce de théâtre, on va mettre en scène très probablement un
personnage monologuant. Mais, à mon avis, cette représentation théâtrale
n’est pas idéale. Le théâtre ne se fait pas seulement avec un seul personnage qui ne cesse de parler. L’une des raisons est donc que j’aimerais qu'il y ait une tension théâtrale, des dialogues et différents
personnages. La deuxième raison, c’est
que j’aimerais mettre en scène ce roman dans le cadre social taïwanais. Je
voudrais que l’histoire ait lieu à Taïwan et que les spectateurs aient
l’impression que l’histoire se passe autour de nous. C’est pour ces 2 raisons
que j’ai fait cette adaptation. Quand je lisais ce roman, ce qui m’a touché le
plus, ce sont les rencontres avec les autres personnages. Même si dans le roman,
c’est le condamné qui raconte son histoire, nous savons qu’on lui rend
visite, par exemple, qu'un homme vient mesurer la taille de sa cellule, ou qu'un autre vient le chercher, etc. C’est pourtant toutes ces rencontres qui me permettent
de voir les attitudes des autres envers le condamné et ce dont il éprouve dans
ces situations. Ce n’est pas tout à fait ce que l’on peut lire dans
son journal. C’est l'occasion pour moi d'ajouter des scènes de visites. Dans le
roman, le condamné évoque sa fille. Il exprime son attachement. Mais il évoque à peine sa mère ou sa femme. Or, pour moi, pour remettre ce
texte dans un cadre taïwanais, je voulais qu’il rencontre les autres
personnages importants de sa vie. C'est pourquoi j’ai choisi de mettre en scène
son ami, sa femme, et sa mère. (David)
(08:15-11:00)
Elizabeth : On voudrait savoir si vous connaissez Albert Camus ou d’autres écrivains français engagés contre la peine de mort ?
Chen Yi-wen : Camus... Je le
connais un peu... mais un petit peu... pas très bien...
Elizabeth :D’accord. Voici ma
question : Ils (les écrivains français) ont beaucoup écrit sur le sujet de la peine
de mort, ils ont écrit beaucoup d’articles pour expliquer les raisons pour les quelles ils étaien favorables à la peine de mort. Vous pour quelles raisons avez-vous choisi l'oeuvre de Victor Hugo plutôt qu'une autre ? Quelle est votre
intention en choisissant cette oeuvre puisque ces dernières
années de nombreux écrivains ont traité cette question ?
Chen Yi-wen : Euh... Il ne faut pas
dire que je ne me préoccupe que de Victor Hugo. Tout est possible...
Je n'ai rien contre Camus ! Sa « Réflexion sur la guillotine »,
je trouve que c’est un très bon livre. Mais pour moi, « Réflexion de la
guillotine » est un débat très rationnel (很理性的探討) qui se fonde sur une démonstration construite avec des arguments solides. Par exemple, premier argument : la peine de mort peut-elle dissuader le criminel ? deuxième argument : Doit-on donner au gouvernement un pouvoir aussi grand
que celui-là (le droit d'exercer la peine de mort). Ce débat s'appuie sur des moyens rationnels, par
contre, le roman de Hugo s'appuie sur l’expérience (遭遇) humaine, je trouve cela très important. Il ne fait pas de discours raisonnable... Pour être honnête, je dirais qu'il ne m’a pas fallu un an
pour rédiger le scénario, il ne nous a pas non plus fallu trop de temps pour répéter. On meurt de fatigue à force d'argumenter. Autant démolir le théâtre et mettre des sièges pour discuter raisonnablement. Je
crois à la puissance du théâtre. J’espère que, après avoir regardé cette
pièce, tous les spectateurs, surtout les jeunes, peuvent avoir une vision plus vaste (多一點觸角) et des sentiments plus profonds (感觸), ou bien une sensibilité plus grande (感性) quand ils penseront désormais à la peine de mort - mais pas forcément dépourvu de rationalité (理性). Ce que j’espère n’est
pas un débat sans réflexion. Souvent, on se dispute sans réfléchir. Telle est la
différence. (traduction Angélique)
(08:15-11:00)
Élizabeth:請問您認識像卡繆,或其他法國的作家嗎?因為…
Chen Yi-wen:卡繆…認識一些些吧…一些些,不是很熟悉。
Élizabeth:嗯,好。那我的問題是:他們做了很多也是針對死刑上面的工作,他們寫了很多論述的文章來告訴大家為什麼這件事情可以做、可以不做,那我想知道您採用這部戲的原因是什麼?是什麼樣的動機讓你選擇了雨果的作品,而不是其他人的?因為其實近幾年,已經有很多很多的作家在這個問題作著墨,那為什麼你選擇了雨果?
Chen Yi-wen:呃…應該說…應該說,我沒有只選擇了雨果。因為事情總有…都可能發生嘛…我也沒有拒絕卡繆…對不對?他的《思索斷頭台》,我覺得是很棒的書。但是《思索斷頭台》對我來說,它是一個很理性的探討。它是一個…非常用理性、說理的…就講,死刑,第一個:它到底有沒有阻嚇犯罪的作用?第二個:死刑底有沒有…呃…我們該不該給政府這麼大的權力去…去…去做這件事情?他是從很理性的方式去討論的。但是我覺得雨果的小說比較可貴的會是在於說,它是用一個「人」的遭遇,並不是「我想透過著個戲劇去跟你們作理性的討論」,不是。我只希望…如果要理性討論根本不用花一年來寫劇本,也不需要花幾個月去排戲,大家累得要死去演一齣戲,只為了要理性討論。理性討論,舞台拆掉,放一些座位,大家坐下來就可以談了。因為我相信戲劇的力量,我希望這個戲劇不是只是在討論,而是說,每一個看過的人──當然最好是年輕人──在未來,有一天他面對到死刑探討的時候,至少會多一些觸角跟感觸,或一些現在雖然感性,但將來會理性的那一種感覺,去思考這個問題,而不是…而不是大家只是在口頭上辯論一下…其實大家都沒有思考,就在辯論了。差別在這裡。
(11 :01~12 :08) Q5 :對死刑的態度
Elizabeth : Alors, je voudrais vous poser directement une
autre question à propos de votre opinion sur la peine de mort. Quel système
politique préférez-vous ? Par exemple, celui de Taiwan qui pratique la
peine de mort ou celui d’autres pays qui ont aboli la peine de mort. Quelle
attitude que avez-vous à l’égard de la peine de mort ?
Chen Yi-wen : Oui, on n’a pas besoin de me poser des étiquettes
parce que à mon avis, la question n’est pas très pertinente et ne permet pas de
discuter vraiment le problème de ce que c’est que la peine de mort.
Je souhaiterai aussi à
l’avenir que les taiwanais peu à peu évitent de discuter de la question de la
peine de mort de cette façon là: « êtes-vous favorable ou non à la
suppression de la peine de mort ? » Ce n’est pas du plus haut
intérêt. Parce que tout le monde définit inconsciemment c’est que c’est que la
peine de mort. Je souhaiterais que tout un chacun discute avec rationalité de ce qu’est
la peine de mort. Tel est le résultat que j’attends et que je souhaite. (traduction Élena)
Q6。
Nous pensons que, petit à petit, nous approchons à
Taiwan de l’abolition de la peine de mort. Pour vous, quels obstacles Taiwan
doit encore surmonter avant de pouvoir abolir la peine de mort ? Il a
fallu attendre deux siècles pour abolir enfin la peine capitale en France, pensez-vous
qu’à Taïwan, on doit attendre aussi deux siècles ? Ou pensez-vous qu’on peut
tirer les leçons des autres pays pour avoir un système plus élaboré ?
Chen Yi-wen : Je le comprends. Je pense que je n’ai pas la sagesse
nécessaire pour évaluer combien de temps cela prendra, mais je dis que pour les
Taïwanais, c’est difficile, très difficile. D’abord, on a écarté la question de l’abolition de la peine de mort, et on a réfléchi à l’acceptation de l’homosexualité.
Les homosexuels peuvent-ils se marier ? Entre nous, combien de personnes
peuvent accepter d’avoir un enfant avant le mariage ? Vous voyez cette
logique-là, n’est-ce pas ? Aujourd’hui, il est possible que chaque jeune
l’accepte quand la porte est fermée, mais quand il est en face de ses parents,
c’est un mur qu’il doit franchir. Et je pense que la discussion de la peine de
mort est similaire. Même si je voulais, je ne peux ni évaluer le temps ni faire
changer les comportements. Je trouve seulement que si on peut chercher une vision
commune, on peut discuter plus raisonnablement. En effet, la raison pour
laquelle cela prend du temps à Taïwan, la raison pour laquelle ce changement n’est
pas rapide, c’est qu’on n’est pas habitué à chercher une vision commune. Comme
je dis, on débat autant sur l’abolition que sur la conservation de la peine
capitale. C’est absurde : tout le monde a beau défendre l’idée d’une
société plus paisible, il semble que ceux qui soutiennent la peine de mort
pensent que les abolitionnistes espèrent que la société soit plus désordonnée.
C’est vraiment absurde. En fait, si on discute rationnellement, ce
qui manque à Taïwan c'est un débat sur « une vision commune ? ». C’est comme le
mouvement de réaction à la centrale nucléaire. 40% la combattent et 40% l’acceptent,
tout le monde est impliqué. On ne discute pas de notre vision commune.
Je réfléchis à cette question, bien sûr, je n’espère pas qu’il faille attendre
200 ans pour abolir la peine de mort. J’espère qu’on peut tirer des leçons de l'expérience des
autres pays ou nous inspirer de leur sagesse. Cette discussion,
j’espère qu’elle sera plus rapide et le laps de temps plus court. Le problème
est que dans nos pratiques, on ne prend pas la peine de réfléchir aux solutions
les plus raisonnables, à une vision commune ou aux idées auxquelles on s’oppose. (traduction Régine)
Q : Est-ce que vous avez l’intention d’adapter ce théâtre au
cinéma ? ou en utilisant d’autres médias pour présenter ce sujet ?
A : Bien sûr j’ai eu cette idée mais… il existe un grand décalage
entre le cinéma et le théâtre dans la façon de travailler, les médias qu’ils
utilisent, le budget, et les efforts qu’ils dépensent. Tout ça est très
différent. Par exemple, même si on a d'excellents techniciens au théâtre,
s’ils ne connaissent pas bien le cinéma, ils n’arriveront pas à utiliser la caméra
pour filmer et ils ne sauront simplement pas comment employer ces
images pour émouvoir. Ça doit être une autre équipe qui prend en charge ce travail. J’ai eu cette idée et je ne l'exclus pas
mais il y a beaucoup de paramètres objectifs à considérer. Pourtant, j’ai une
autre idée plus simple : si jamais on peut mettre en scène cette pièce chaque année en octobre, je pense que ça vaut la peine. Qu'importe le nombre de spectateurs, cela signifie que je continue à pousser ma réflexion. Cette option est
plus réalisable. (traduction Cléo)
A mon tour de vous poser quelques questions :
Avez-vous trouvé la pièce convaincante ? Avez-vous été touché par la pièce et la mise en scène ?
David me confiait qu'il n'avait pas aimé certains éléments de la mise en scène comme l'épisode grotesque du gardien, l'épisode fantastique du fantôme... Qu'en pensez-vous ?
Le sujet est sensible... Pouvez-vous appliquer son propos à Taiwan ? La dernière polémique autour de la peine de mort remonte au cas du meurtrier du métro l'année dernière ?
Barthes mettait l'accent sur le discours écrasant de la justice et du pouvoir ? Par opposition à la maîtrise dérisoire d'un paysan illettré ? Ici, c'est un peu différent mais Chen Yi-wen choisi de mettre en scène un "dignitaire" de la mafia, cela change du parti-pris de V. Hugo qui lui met en scène un lettré (ce n'est pas un homme du peuple) condamné à mort ?
Qu'en est-il de la reconstitution psychologique que nous avions analyser la semaine dernière ?
Lecture des fiches sur l'entretien radiophonique
La préparation de la rencontre avec Sarah Wandy
1 - Celle-ci préfère obtenir les questions à l'avance.
2 - Elle a vu la pièce de Chen Yi-wen.
3 - Utilisons nos recherches pour bâtir un questionnaire... (à propos : quelles sont les difficultés que vous avez rencontrées lors de l'entretien avec Chen Yi-wen).
4 - Ajoutons la consultation de ce site de référence sur la peine de mort dans le monde. http://f.info.abolition.fr/o/?s=2ef-c729b1-2002-51ae641a-27e
Travail pour la semaine prochaine
1 - Le montage du portrait
2 - Les haikus...
3 - Lire le texte sur l'urbanisme et la sémiologie et réfléchir au questionnaire de Carton Chen
Peut-être alors "la cuisine du sens" est plus pertinent pour l'instant.
4 - Interview de Sarah. Qui, quand, où ?
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